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REMARQUES IMPORTANTES : 1.  Les dates figurant sous les titres des rubriques sont celles de leur création, pas celles des dernières mises à jour…

2.   En français, les noms des mois (et ceux des jours) s'écrivent SANS majuscule mais ceux qui administrent ce site l'ignorent et, comme les glorieux sous-offs qui ont passé 40 ans dans des casernes, "ne veulent pas le savoir".

3.  En français, "éditer" signifie publier un texte, de la musique (partitions, etc.). Corriger ou modifier un texte, ou les deux, n'a rien à voir avec "éditer", qui est ici un anglicisme, donc un barbarisme : ce n'est pas français. "Modifier" est largement suffisant.

Cette photo faite de nuit montre une partie du "Centre d'émissions" de la Radiodiffusion-Télévision Française, à savoir la partie "ondes kilométriques", plus couramment appelées "ondes longues", avec l'antenne de 308 m de hauteur et, à droite, le bâtiment abritant les deux émetteurs de 250 kW chacun (puissance portée plus tard à 2 x 1 000 kW, une puissance énorme en radio) et tout le matériel, les locaux et les services dont ils avaient besoin, à gauche l'antenne en dipôle replié : le pylône, dûment signalé même sur les cartes routières, était haut de 308 m et, depuis son sommet, il supportait deux faisceaux de câbles (on aperçoit celui de droite) descendant jusqu'au sol, qui portaient la longueur totale à 2 x 308 m, soit 616 m. Situé à Allouis (Cher), entre Bourges et Vierzon, c'était l'émetteur principal de France Inter (pas "un relais", comme l'affirment des gens ignares dans tout domaine technique), fermé définitivement le 1er janvier 2018. J'ai travaillé dans ce centre émetteur pendant 4 ans mais dans la partie "ondes décamétriques" ou ondes courtes, située à environ 1 km en arrière de ce bâtiment, et fermée depuis longtemps. Ces 4 ans ont été interrompus par 18 mois 1/2 de service militaire (août 1961-février 1963) dans l'Armée de l'Air (au départ, c'était 36 mois) à la fin de la guerre d'Algérie, cette fin ayant ramené la durée des "obligations militaires" de 36 à 18 mois, puis encore moins. Au départ, j'étais soldat de 2e classe (simple soldat), à la fin sous-lieutenant de réserve à partir d'août 1962 (au Sahara) car j'avais eu la bonne idée de participer au concours des EOR (Élèves-Officiers de Réserve) et de le réussir. Pour 36 mois, je trouvais préférable d'être officier que simple soldat…

Important : 

Vous êtes ici sur la page d'accueil (page 1). Il y a une 2e page pour les rubriques qui n'ont pas de place à la page 1 : pour le moment, vous trouverez à la page 2 les rubriques "Mots d'enfants et de charmantes personnes" et "Mais enfin, qui diable est donc ce fichu Michelet ?". Vous trouverez les mentions 1 et 2 cachées EN BAS de la page d'accueil. Pour accéder à la page 2, il suffit évidemment de cliquer sur le 2, et inversement sur le 1 pour revenir à la page 1 (ou peut-être sur la flèche gauche, en haut et à gauche de votre écran).

La section "Mots d'enfants" a été fortement augmentée, d'autres aussi (avions, Galland, photos diverses…).

NE VOUS FIEZ PAS aux dates figurant en haut des rubriques, juste sous leur titre. Ces dates sont celles de la première publication mais, depuis, j'ai corrigé et fortement complété tous les textes et ajouté des photos partout, notamment pour Galland, les avions et "Qui est ce (…) Michelet ?"

Vos questions, vos remarques

Pour les formuler, il suffit de cliquer sur le mot Contact, à droite du mot Accueil, presque tout en haut de la page d'accueil (page que vous avez obtenue en inscrivant l'adresse de ce blog dans la case située tout en haut de votre écran). Cela fait apparaître un formulaire à remplir (surtout avec vos remarques ou vos questions). Je le reçois alors sous forme de mél (Message ÉLectronique)

Personne n'ayant fait la moindre remarque, il est évident que tous les visiteurs de ce blog sont comblés par ce qu'ils y ont trouvé (des merveilles), et le contenu actuel n'est qu'un début.

Vous vous en doutez certainement, je suis  constamment à la recherche de bonnes photos d'aviateurs connus et d'avions de tous types à partir d'environ 1938, avec 1939-45 comme principal centre d'intérêt. Jusqu'à présent, presque toutes les photos que j'ai publiées ici ont été faites par moi-même depuis l'âge d'environ 12 ans ou sur mes instructions d'éditeur (séances de signature avec Adolf Galland en 1985 et 87), certaines par des parents ou des amis (avec quelques exceptions).

Depuis environ 40 ans, je me livre à une recherche intensive sur la Campagne de France aérienne de 1940. Les surprises, qui détruisent d'innombrables mythes coriaces nés en 1940 au détriment de l'aviation française, s'accumulent. Vous n'imaginez pas à quel point ce qu'on vous raconte depuis 1940 sur l'aviation française faible, impuissante, inactive, équipée d'avions démodés, et sur ses aviateurs passifs, voire refusant le combat (c'est exactement le contraire qui est vrai), est faux et complète-ment dépassé.

Il faut réécrire l'histoire de cette année-là (au moins dans le ciel) et j'espère bien pouvoir le faire.

La principale conclusion historique d'ensemble est la suivante :

en 1939 et surtout en mai-juin 1940 (Campagne de France), l'aviation française, y compris l'Aéronavale beaucoup moins nombreuse que l'Armée de l'Air, s'est battue avec héroïsme et acharnement, " comme des lions " (c'est le titre d'un livre traitant de la Campagne de France, mais surtout au sol), combattant surtout avec une grande efficacité et infligeant à l'aviation allemande, la Luftwaffe, de très lourdes pertes. Je persiste depuis 1991 à évaluer le nombre d'avions allemands détruits par la seule Chasse française à environ 830, plus quelques dizaines de chasseurs  ennemis abattus par divers avions français de bombardement, de reconnaissance, etc., sans compter de nombreuses pertes allemandes (environ 20 % du total) dans des accidents souvent dus à la pression de l'adversaire français (terrestre et aérien), et sans compter des centaines d'avions supplémentaires, non détruits mais fortement endommagés et donc rendus inutilisables pendant plusieurs mois. Les aviateurs britanniques (de la Royal Air Force ou RAF) envoyés " sur le continent " pour combattre, eux aussi, l'Allemagne nazie, étaient peu nombreux (exemple : seulement 100 chasseurs y compris les renforts envoyés durant les 3 premiers jours ; la France alignait environ mille (1 000) chasseurs),  et  ces Britanniques étaient souvent inefficaces mais, bien que très souvent sans expérience, ils se sont battus avec le plus grand courage, obéissant aux ordres reçus et subissant en 3-4 semaines de très lourdes pertes dont certaines furent les pires de toute la IIe guerre mondiale, qui a tout de même duré 6 ans, dont 5 ans très intensifs du 10 mai 1940 au 8 mai 1945.

Gloire à l'aviation française de 1940 et surtout à ses équipages. Le monde entier leur doit une immense reconnaissance et la plus grande admiration. Il est inadmissible que le monde entier, y compris la France, croie exactement le contraire.

Les meilleurs juges, pour trancher, sont les aviateurs allemands. Les pilotes de chasse de la Luftwaffe (exemple : la JG 3) redoutaient leurs adversaires français, très coriaces en combat, mais pas les Britanniques, "des sportifs braves mais malhabiles ". Leurs terribles pertes le prouvent. Selon une grande unité de chasse allemande, la JG 2 "Richthofen", qui comptait une centaine de chasseurs Messerschmitt 109 et de pilotes, 80 % de ses victoires étaient des avions français qu'elle avait donc abattus, et 80 % de ses pertes lui étaient infligées par les chasseurs français (pas par la RAF, qui prétend toujours exactement le contraire ; c'en est lassant). Il est clair que les Allemands, eux, les VOYAIENT, ces avions français qu'aucun soldat français de l'Armée de terre " n'a jamais vus ", et cette remarque est tout aussi valable pour l'Armée de terre allemande que pour la Luftwaffe (l'aviation). Avec cinq millions de soldats aveugles, la France ne pouvait que perdre cette guerre contre des Allemands à la vue perçante, y compris les fantassins et les artilleurs, qui, eux, contrairement à la masse des soldats français, ne manquaient jamais une occasion de tirer sur nos avions, et ils en détruisirent beaucoup. Nos soldats " terriens " et leurs chefs, notamment l'ignoble général Huntziger, qui fut lui-même l'un des principaux vrais responsables de la défaite et qui devint le ministre des Armées (de la Défense) de Pétain, c'est tout dire, auraient dû trouver un meilleur prétexte pour leurs défaites rarement glorieuses (certains se sont battus héroïquement aussi) et pour leur traversée de la France en diagonale, 1 000 km (en ligne droite) du nord-est au sud-ouest, à une vitesse fabuleuse que rien ne justifiait. Même leurs poursuivants allemands étaient épuisés par le rythme des déplacements, comme le montrent des films et des photos de l'époque, mais personne n'en a profité pour les assaillir...

Commentaire du général Adolf Galland, l'aviateur le plus célèbre de cette guerre et aussi du XXe siècle, dans l'une des cinquante lettres qu'il m'a écrites : " Celui qui croit que les pilotes de chasse français n'étaient pas bons est un imbécile. "

De grâce, donnez-moi votre avis !

Le nombre relativement important de visiteurs montre que mes « élucubrations », comme l’un de mes charmants diffamateurs l’a aimablement écrit dans un magazine correspondant à son niveau d’ensemble, ne sont pas si dénuées d’intérêt que d’aucuns voudraient nous le faire croire.  Bien sûr, je pourrais penser : « Pas de commentaires, mon site est donc parfait et génial » car, en général, ce sont plutôt les mécontents qui s’expriment, grognent et ronchonnent.

Depuis la création de ce blog, j’ai ajouté beaucoup de texte partout ainsi qu’une douzaine de rubriques très différentes allant de la langue française à la tactique du combat aérien et aux généraux Adolf Galland (mon ami pendant douze ans) et Jean-Mary Accart. Ce dernier, "mon cher et grand ami", est mon héros, mon idole : cet officier pilote de chasse français – au combat en 1939-40 et en 1943-44 – réunissait en une seule personne la plupart des qualités admirables dont la plupart d’entre nous ne peuvent que rêver : courage sans faille, bravoure sublime au combat, intelligence remarquable, générosité naturelle et souriante, bonté spontanée même vis-à-vis d’aviateurs ennemis dont il venait d’abattre l’avion pour les empêcher de larguer leurs bombes sur la France et de tuer des dizaines de Français (et qui avaient tout de même tiré sur lui avec leurs redoutables mitrailleuses), modestie proverbiale chez ceux qui l’ont connu… J’ai ajouté aussi une rubrique humoristique, consacrée en principe aux mots d’enfants, mais je me suis aperçu que les mots de nos ravissantes compagnes et de leurs compagnons valent bien ceux des enfants. Il y a aussi une collection de photos en tous genres, dans le désordre, que je choisis uniquement pour leur beauté ou leur intérêt. Bref, regardez vous-mêmes !

Faites des commentaires, posez des questions si vous en avez. Sinon, gare à vous : pour vous punir, j’écrirai encore davantage « d’élucubrations » et j’ajouterai encore des photos dans le seul but de vous faire enrager. Ces menaces effrayantes devraient vous décider.

Et puis, SVP, indiquez à vos copains, parents, connaissances et autres victimes l'URL de ce blog : cette adresse n'est pas secrète.  Ils seront tous éperdus de reconnaissance à votre égard. Re-voici cette adresse :

http://yves-michelet.over-blog.com/

À bientôt donc.

Yves Michelet

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